Vivez vous dans l'obsession des régimes ??

http://www.psychologies.com/cfml/test/c_test.cfm?ID=204

Indiscutablement

Vous êtes fanatique de régimes, parce que votre image ne vous satisfait pas. Vous oscillez entre l'obsession et la frénésie de maigrir pour l'oublier et donc, pour vous créer celle d'un corps idéal imaginaire, vous accumulez les régimes. Mais vous grossissez dès que vous cessez d'en faire un, puis en recommencez un autre avant de reprendre à nouveau les kilos dont vous vouliez vous débarrasser...! Vous vivez entre anorexie et boulimie.

Vous êtes fanatique de régimes par peur de ne pas être suffisamment aimé(e), de ne pas savoir répondre à la demande de votre entourage, ou de ne pas être à la hauteur professionnellement.

Mais être fanatique de régimes est, autant que manger beaucoup, une façon de se dénier le droit d'affirmer sa volonté en imposant sa personnalité. C'est se concevoir le plus lourd ou le plus léger possible seulement, afin d'être repoussé ou de paraître sans consistance.

Vous êtes capable d'être pantagruélique ou de vous priver de tout pour vous protéger de vous-même, ou vous punir d'exister. Au détriment de votre santé et en vous astreignant à vous compliquer la vie.

Dans notre culture contemporaine donnant un rôle prépondérant au désir et au plaisir sexuel, avoir un corps inspirant le désir est un gage d'amour. Entre deux alternatives, accepter son corps avec ses défauts (qui souvent n'en sont pas pour le partenaire amoureux) ou le refuser et donc se frustrer de relations amoureuses, être un(e) fanatique de régimes devient un compromis permettant d'imaginer son corps désirable et, donc, d'avoir une vie normale.

Pour éviter ce piège, troquez vos régimes contre des notions de diététique et adoptez une théorie du monde excluant de vos préoccupations le poids de votre corps ou la quantité de nourriture que vous absorbez. Non seulement vous changerez mais vous constaterez que le monde changera aussi autour de vous.

(ha bé c'est moi!!)

Pas du tout

Par bonheur, vous n'êtes pas du tout fanatique de régimes. Si peu, même, que parfois vous pouvez le regretter quand vous croisez votre image dans un miroir et que vous vous trouvez soit trop rembourré(e), soit trop maigre !

Il est vrai que jamais sérieusement obsédé(e) par quoi que ce soit, vous l'êtes encore moins par votre apparence. Parce que vous ne grossissez jamais trop, ou parce que vous n'accordez pas beaucoup d'attention à votre corps.

Autre solution, vous vous dépensez tant que vous brûlez toutes les calories que vous absorbez. Ce qui reste la façon la plus rationnelle de garder sa minceur. Quoiqu'il en soit, les valeurs que vous préférez privilégier sont basées sur une philosophie de l'être plutôt que du paraître.

Votre bonheur spirituel vous importe plus que votre enveloppe corporelle. Gourou du bien vivre, de l'humour et de l'échange, l'idée de suivre les directives impliquées par un régime vous semble incompatible avec votre conception de la liberté.

Vous avez décidé de ne pas être obsédé(e) des régimes comme d'autres décident de ne pas boire d'alcool ou de ne pas fumer. Pour le reste, vous faites confiance à votre métabolisme.

Que vous soyez maigre, d'un poids idéal ou trop enveloppé(e), même si parfois vous vous nourrissez sans réfléchir, vous vous sentez bien dans votre corps.

Equilibré(e), satisfait(e) de la vie que vous vous êtes choisie, suivre un ou plusieurs régime(s) est pour vous signe d'inconscience. Chaque jour, vous exigez des préoccupations plus importantes. En parler même, vous paraît futile.

De plus, désirer avoir un corps mince, fragile, restant toujours à un stade adolescent, poussé(e) en cela par une société adulant la jeunesse est, pour vous, signe d’un conformisme qui freine l'épanouissement de la personnalité.

Mais si ne pas être obsédé(e) est bien, vous savez que ne pas se laisser déborder par les événements (manger trop, ou trop peu…) est encore mieux.

Imparable. Vous êtes fanatiquement sage

ta de la chance!!

Pas du tout

Par bonheur, vous n'êtes pas du tout fanatique de régimes. Si peu, même, que parfois vous pouvez le regretter quand vous croisez votre image dans un miroir et que vous vous trouvez soit trop rembourré(e), soit trop maigre !

Il est vrai que jamais sérieusement obsédé(e) par quoi que ce soit, vous l'êtes encore moins par votre apparence. Parce que vous ne grossissez jamais trop, ou parce que vous n'accordez pas beaucoup d'attention à votre corps.

Autre solution, vous vous dépensez tant que vous brûlez toutes les calories que vous absorbez. Ce qui reste la façon la plus rationnelle de garder sa minceur. Quoiqu'il en soit, les valeurs que vous préférez privilégier sont basées sur une philosophie de l'être plutôt que du paraître.

Votre bonheur spirituel vous importe plus que votre enveloppe corporelle. Gourou du bien vivre, de l'humour et de l'échange, l'idée de suivre les directives impliquées par un régime vous semble incompatible avec votre conception de la liberté.

Vous avez décidé de ne pas être obsédé(e) des régimes comme d'autres décident de ne pas boire d'alcool ou de ne pas fumer. Pour le reste, vous faites confiance à votre métabolisme.

Que vous soyez maigre, d'un poids idéal ou trop enveloppé(e), même si parfois vous vous nourrissez sans réfléchir, vous vous sentez bien dans votre corps.

Equilibré(e), satisfait(e) de la vie que vous vous êtes choisie, suivre un ou plusieurs régime(s) est pour vous signe d'inconscience. Chaque jour, vous exigez des préoccupations plus importantes. En parler même, vous paraît futile.

De plus, désirer avoir un corps mince, fragile, restant toujours à un stade adolescent, poussé(e) en cela par une société adulant la jeunesse est, pour vous, signe d’un conformisme qui freine l'épanouissement de la personnalité.

Mais si ne pas être obsédé(e) est bien, vous savez que ne pas se laisser déborder par les événements (manger trop, ou trop peu…) est encore mieux.

pitch t'as finie de me copier!!

ahh tu savait pas encore que mon surnom c'est pitch la copiteuse pilou ?

Pas du tout

Par bonheur, vous n'êtes pas du tout fanatique de régimes. Si peu, même, que parfois vous pouvez le regretter quand vous croisez votre image dans un miroir et que vous vous trouvez soit trop rembourré(e), soit trop maigre !

Il est vrai que jamais sérieusement obsédé(e) par quoi que ce soit, vous l'êtes encore moins par votre apparence. Parce que vous ne grossissez jamais trop, ou parce que vous n'accordez pas beaucoup d'attention à votre corps.

Autre solution, vous vous dépensez tant que vous brûlez toutes les calories que vous absorbez. Ce qui reste la façon la plus rationnelle de garder sa minceur. Quoiqu'il en soit, les valeurs que vous préférez privilégier sont basées sur une philosophie de l'être plutôt que du paraître.

Votre bonheur spirituel vous importe plus que votre enveloppe corporelle. Gourou du bien vivre, de l'humour et de l'échange, l'idée de suivre les directives impliquées par un régime vous semble incompatible avec votre conception de la liberté.

Vous avez décidé de ne pas être obsédé(e) des régimes comme d'autres décident de ne pas boire d'alcool ou de ne pas fumer. Pour le reste, vous faites confiance à votre métabolisme.

Que vous soyez maigre, d'un poids idéal ou trop enveloppé(e), même si parfois vous vous nourrissez sans réfléchir, vous vous sentez bien dans votre corps.

Equilibré(e), satisfait(e) de la vie que vous vous êtes choisie, suivre un ou plusieurs régime(s) est pour vous signe d'inconscience. Chaque jour, vous exigez des préoccupations plus importantes. En parler même, vous paraît futile.

De plus, désirer avoir un corps mince, fragile, restant toujours à un stade adolescent, poussé(e) en cela par une société adulant la jeunesse est, pour vous, signe d’un conformisme qui freine l'épanouissement de la personnalité.

Mais si ne pas être obsédé(e) est bien, vous savez que ne pas se laisser déborder par les événements (manger trop, ou trop peu…) est encore mieux.

Imparable. Vous êtes fanatiquement sage.

Parfois

Oui, vous pouvez être obsédé(e) par l’idée de faire un régime, parce que vous êtes préoccupé(e) par votre image. Mais cela n’arrive que si celle-ci ne vous satisfait plus, ou quand vous devez surmonter un échec. Des différents avec un père, une mère, l'agressivité d'un frère ou d'une sœur, le harcèlement d'un(e) supérieur(e), la pression d’une relation, tous ces soucis relationnels sont souvent compensés par le plaisir de bien manger ou de grignoter entre les repas.

Souvent en colère contre vous-même quand vous n'avez pas obtenu ce que vous souhaitiez, vous dévorez puis vous vous mettez au régime en compensation d'un préjudice que vous croyez avoir subi. Au détriment de votre santé.

Votre goût pour la nourriture dépendant énormément des émotions perturbantes que vous éprouvez, tristesse, déception, frustration, chagrin, etc., vous avez tendance à vous réfugier dans un régime quand vous n'avez plus la force d'affirmer vos envies, désirs, choix, bref, votre moi. Dans votre vie affective, sexuelle, professionnelle, dès que vous devez faire face à un différent relationnel ou remettre en question votre valeur intrinsèque, vous déplacez vos problèmes sur ceux que vous pose parfois votre silhouette.

Donc, vous commencez un régime pour essayer de modifier votre corps selon les modèles qui vous attirent et, ainsi, vous valoriser. Mais votre fanatisme ne dure jamais longtemps. Heureusement.

Affranchi(e) alors des contraintes que vous vous étiez imposées, les oubliant, passionné(e) par autre chose, vous semblez sortir d'un purgatoire pro-beauté et retrouver vos idéaux habituels. A la grande joie de ceux qui vous entourent.

Décontracté(e), vous vous acceptez alors à nouveau tel(le) que vous êtes, et même très bien. Si vous adoptez un régime équilibré ne vous contraignant pas à des privations excessives tout en vous permettant de garder votre ligne, vous vous passionnerez définitivement pour tout ce que vous réserve l'avenir, en refusant de dépendre d'un simple calcul de kilos pour affirmer votre personnalité.

C'est cela le plus important. Pas de panique, vous y arriverez.

Indiscutablement

Vous êtes fanatique de régimes, parce que votre image ne vous satisfait pas. Vous oscillez entre l'obsession et la frénésie de maigrir pour l'oublier et donc, pour vous créer celle d'un corps idéal imaginaire, vous accumulez les régimes. Mais vous grossissez dès que vous cessez d'en faire un, puis en recommencez un autre avant de reprendre à nouveau les kilos dont vous vouliez vous débarrasser...! Vous vivez entre anorexie et boulimie.

Vous êtes fanatique de régimes par peur de ne pas être suffisamment aimé(e), de ne pas savoir répondre à la demande de votre entourage, ou de ne pas être à la hauteur professionnellement.

Mais être fanatique de régimes est, autant que manger beaucoup, une façon de se dénier le droit d'affirmer sa volonté en imposant sa personnalité. C'est se concevoir le plus lourd ou le plus léger possible seulement, afin d'être repoussé ou de paraître sans consistance.

Vous êtes capable d'être pantagruélique ou de vous priver de tout pour vous protéger de vous-même, ou vous punir d'exister. Au détriment de votre santé et en vous astreignant à vous compliquer la vie.

Dans notre culture contemporaine donnant un rôle prépondérant au désir et au plaisir sexuel, avoir un corps inspirant le désir est un gage d'amour. Entre deux alternatives, accepter son corps avec ses défauts (qui souvent n'en sont pas pour le partenaire amoureux) ou le refuser et donc se frustrer de relations amoureuses, être un(e) fanatique de régimes devient un compromis permettant d'imaginer son corps désirable et, donc, d'avoir une vie normale.

Wouaa y sont bien ces test! c'est tout a fait ca!

Mandra a écrit:

< class="quote">Indiscutablement

Vous êtes fanatique de régimes, parce que votre image ne vous satisfait pas. Vous oscillez entre l'obsession et la frénésie de maigrir pour l'oublier et donc, pour vous créer celle d'un corps idéal imaginaire, vous accumulez les régimes. Mais vous grossissez dès que vous cessez d'en faire un, puis en recommencez un autre avant de reprendre à nouveau les kilos dont vous vouliez vous débarrasser...! Vous vivez entre anorexie et boulimie.

Vous êtes fanatique de régimes par peur de ne pas être suffisamment aimé(e), de ne pas savoir répondre à la demande de votre entourage, ou de ne pas être à la hauteur professionnellement.

Mais être fanatique de régimes est, autant que manger beaucoup, une façon de se dénier le droit d'affirmer sa volonté en imposant sa personnalité. C'est se concevoir le plus lourd ou le plus léger possible seulement, afin d'être repoussé ou de paraître sans consistance.

Vous êtes capable d'être pantagruélique ou de vous priver de tout pour vous protéger de vous-même, ou vous punir d'exister. Au détriment de votre santé et en vous astreignant à vous compliquer la vie.

Dans notre culture contemporaine donnant un rôle prépondérant au désir et au plaisir sexuel, avoir un corps inspirant le désir est un gage d'amour. Entre deux alternatives, accepter son corps avec ses défauts (qui souvent n'en sont pas pour le partenaire amoureux) ou le refuser et donc se frustrer de relations amoureuses, être un(e) fanatique de régimes devient un compromis permettant d'imaginer son corps désirable et, donc, d'avoir une vie normale.

Wouaa y sont bien ces test! c'est tout a fait ca!>

hoo ma caille ,on es pareille!!!

oui !!

Pas du tout

Par bonheur, vous n'êtes pas du tout fanatique de régimes. Si peu, même, que parfois vous pouvez le regretter quand vous croisez votre image dans un miroir et que vous vous trouvez soit trop rembourré(e), soit trop maigre !

Il est vrai que jamais sérieusement obsédé(e) par quoi que ce soit, vous l'êtes encore moins par votre apparence. Parce que vous ne grossissez jamais trop, ou parce que vous n'accordez pas beaucoup d'attention à votre corps.

Autre solution, vous vous dépensez tant que vous brûlez toutes les calories que vous absorbez. Ce qui reste la façon la plus rationnelle de garder sa minceur. Quoiqu'il en soit, les valeurs que vous préférez privilégier sont basées sur une philosophie de l'être plutôt que du paraître.

Votre bonheur spirituel vous importe plus que votre enveloppe corporelle. Gourou du bien vivre, de l'humour et de l'échange, l'idée de suivre les directives impliquées par un régime vous semble incompatible avec votre conception de la liberté.

Vous avez décidé de ne pas être obsédé(e) des régimes comme d'autres décident de ne pas boire d'alcool ou de ne pas fumer. Pour le reste, vous faites confiance à votre métabolisme.

Que vous soyez maigre, d'un poids idéal ou trop enveloppé(e), même si parfois vous vous nourrissez sans réfléchir, vous vous sentez bien dans votre corps.

Equilibré(e), satisfait(e) de la vie que vous vous êtes choisie, suivre un ou plusieurs régime(s) est pour vous signe d'inconscience. Chaque jour, vous exigez des préoccupations plus importantes. En parler même, vous paraît futile.

De plus, désirer avoir un corps mince, fragile, restant toujours à un stade adolescent, poussé(e) en cela par une société adulant la jeunesse est, pour vous, signe d’un conformisme qui freine l'épanouissement de la personnalité.

Mais si ne pas être obsédé(e) est bien, vous savez que ne pas se laisser déborder par les événements (manger trop, ou trop peu…) est encore mieux.

Imparable. Vous êtes fanatiquement sage.

Parfois

Oui, vous pouvez être obsédé(e) par l’idée de faire un régime, parce que vous êtes préoccupé(e) par votre image. Mais cela n’arrive que si celle-ci ne vous satisfait plus, ou quand vous devez surmonter un échec. Des différents avec un père, une mère, l'agressivité d'un frère ou d'une sœur, le harcèlement d'un(e) supérieur(e), la pression d’une relation, tous ces soucis relationnels sont souvent compensés par le plaisir de bien manger ou de grignoter entre les repas.

Souvent en colère contre vous-même quand vous n'avez pas obtenu ce que vous souhaitiez, vous dévorez puis vous vous mettez au régime en compensation d'un préjudice que vous croyez avoir subi. Au détriment de votre santé.

Votre goût pour la nourriture dépendant énormément des émotions perturbantes que vous éprouvez, tristesse, déception, frustration, chagrin, etc., vous avez tendance à vous réfugier dans un régime quand vous n'avez plus la force d'affirmer vos envies, désirs, choix, bref, votre moi. Dans votre vie affective, sexuelle, professionnelle, dès que vous devez faire face à un différent relationnel ou remettre en question votre valeur intrinsèque, vous déplacez vos problèmes sur ceux que vous pose parfois votre silhouette.

Donc, vous commencez un régime pour essayer de modifier votre corps selon les modèles qui vous attirent et, ainsi, vous valoriser. Mais votre fanatisme ne dure jamais longtemps. Heureusement.

Affranchi(e) alors des contraintes que vous vous étiez imposées, les oubliant, passionné(e) par autre chose, vous semblez sortir d'un purgatoire pro-beauté et retrouver vos idéaux habituels. A la grande joie de ceux qui vous entourent.

Décontracté(e), vous vous acceptez alors à nouveau tel(le) que vous êtes, et même très bien. Si vous adoptez un régime équilibré ne vous contraignant pas à des privations excessives tout en vous permettant de garder votre ligne, vous vous passionnerez définitivement pour tout ce que vous réserve l'avenir, en refusant de dépendre d'un simple calcul de kilos pour affirmer votre personnalité.

C'est cela le plus important. Pas de panique, vous y arriverez.

Katou a écrit:

< class="quote">Parfois

Oui, vous pouvez être obsédé(e) par l’idée de faire un régime, parce que vous êtes préoccupé(e) par votre image. Mais cela n’arrive que si celle-ci ne vous satisfait plus, ou quand vous devez surmonter un échec. Des différents avec un père, une mère, l'agressivité d'un frère ou d'une sœur, le harcèlement d'un(e) supérieur(e), la pression d’une relation, tous ces soucis relationnels sont souvent compensés par le plaisir de bien manger ou de grignoter entre les repas.

Souvent en colère contre vous-même quand vous n'avez pas obtenu ce que vous souhaitiez, vous dévorez puis vous vous mettez au régime en compensation d'un préjudice que vous croyez avoir subi. Au détriment de votre santé.

Votre goût pour la nourriture dépendant énormément des émotions perturbantes que vous éprouvez, tristesse, déception, frustration, chagrin, etc., vous avez tendance à vous réfugier dans un régime quand vous n'avez plus la force d'affirmer vos envies, désirs, choix, bref, votre moi. Dans votre vie affective, sexuelle, professionnelle, dès que vous devez faire face à un différent relationnel ou remettre en question votre valeur intrinsèque, vous déplacez vos problèmes sur ceux que vous pose parfois votre silhouette.

Donc, vous commencez un régime pour essayer de modifier votre corps selon les modèles qui vous attirent et, ainsi, vous valoriser. Mais votre fanatisme ne dure jamais longtemps. Heureusement.

Affranchi(e) alors des contraintes que vous vous étiez imposées, les oubliant, passionné(e) par autre chose, vous semblez sortir d'un purgatoire pro-beauté et retrouver vos idéaux habituels. A la grande joie de ceux qui vous entourent.

Décontracté(e), vous vous acceptez alors à nouveau tel(le) que vous êtes, et même très bien. Si vous adoptez un régime équilibré ne vous contraignant pas à des privations excessives tout en vous permettant de garder votre ligne, vous vous passionnerez définitivement pour tout ce que vous réserve l'avenir, en refusant de dépendre d'un simple calcul de kilos pour affirmer votre personnalité.

C'est cela le plus important. Pas de panique, vous y arriverez.>

c'est tout pareil!!

Pas du tout

Par bonheur, vous n'êtes pas du tout fanatique de régimes. Si peu, même, que parfois vous pouvez le regretter quand vous croisez votre image dans un miroir et que vous vous trouvez soit trop rembourré(e), soit trop maigre !

Il est vrai que jamais sérieusement obsédé(e) par quoi que ce soit, vous l'êtes encore moins par votre apparence. Parce que vous ne grossissez jamais trop, ou parce que vous n'accordez pas beaucoup d'attention à votre corps.

Autre solution, vous vous dépensez tant que vous brûlez toutes les calories que vous absorbez. Ce qui reste la façon la plus rationnelle de garder sa minceur. Quoiqu'il en soit, les valeurs que vous préférez privilégier sont basées sur une philosophie de l'être plutôt que du paraître.

Votre bonheur spirituel vous importe plus que votre enveloppe corporelle. Gourou du bien vivre, de l'humour et de l'échange, l'idée de suivre les directives impliquées par un régime vous semble incompatible avec votre conception de la liberté.

Vous avez décidé de ne pas être obsédé(e) des régimes comme d'autres décident de ne pas boire d'alcool ou de ne pas fumer. Pour le reste, vous faites confiance à votre métabolisme.

Que vous soyez maigre, d'un poids idéal ou trop enveloppé(e), même si parfois vous vous nourrissez sans réfléchir, vous vous sentez bien dans votre corps.

Equilibré(e), satisfait(e) de la vie que vous vous êtes choisie, suivre un ou plusieurs régime(s) est pour vous signe d'inconscience. Chaque jour, vous exigez des préoccupations plus importantes. En parler même, vous paraît futile.

De plus, désirer avoir un corps mince, fragile, restant toujours à un stade adolescent, poussé(e) en cela par une société adulant la jeunesse est, pour vous, signe d’un conformisme qui freine l'épanouissement de la personnalité.

Mais si ne pas être obsédé(e) est bien, vous savez que ne pas se laisser déborder par les événements (manger trop, ou trop peu…) est encore mieux.

Imparable. Vous êtes fanatiquement sage.

pourtant je devrais mais bon...