Marseille (prononcez مرسيليا) est une affreuse excroissance d'Alger située sur la face maritime du sud de la France, au bord de la Mer Méditerranée...
Ville de grandes gueules et de beaufs amateurs de foot et de PMU, quand ce n'est pas pour jouer à la pétanque en buvant du pastis et bref, rien branler. Les marseillais détestent les parisiens, à qui ils reprochent tout ou presque. À ce sujet, pour un marseillais, toute personne n'étant pas née à Marseille est un parisien.
Les marseillais détestent tout ce qui se trouve après l'Estaque ou Aubagne (pour les plus doués), même s'ils ne savent pas situer le reste du pays sur une carte géographique. En fait la conception de la géographie par les marseillais est simple : en dehors de Marseille n'existe que "le nord", entité floue où il fait toujours froid et où les gens sont censés être bêtes et méchants (surtout envers les marseillais). En conséquence, fréquenter le "nord" ou aller y vivre est une humiliante félonie pour un marseillais.
À Marseille, il n'y a pas de trottoirs mais des crottoirs. Grâce à cette spécificité, la ville remporte chaque année le prestigieux trophée de l'Étron d'or décerné par la S.P.M (Société Protectrice des Malpropres).
Marseille reste la seule ville au monde où la perception des choses est modifiée. Ainsi, une dizaine de minutes peut être avantageusement transformée en heures, comme une sardine peut boucher le Vieux-Port. Ne vous offusquez pas si un marseillais vous dit con à la fin d'une phrase ou d'un mot ( tu es à Marseilleu "con" et en face tu as la plageu "con". C'est une bizarerie de leur langage.
C'est aussi la seule ville au monde à être la capitale de 3 États :
* L'Algérie
* Les Comores
* La Tunisie
La deuxième langue la plus parlée dans cette ville est bien sûr le français
Gastronomie
Les Marseillais se réunissent fréquemment autour d'un repas majoritairement liquide nommé apéro. Il existe bien sûr un grand nombre de plats solides typiques. On citera entre autres l'anchoïadouh con, les quatre pâtopiste et le morceau de pizze. Le plat le plus connu est un plat nommé pastis, consistant en de l'anis alcoolisé coupé un peu à l'eau fraîche, servi dans un verre ou un cubitainer avec paille selon le besoin du solliciteur. Accompagné généralement d' olives vertes et simple d'élaboration, il est consommé en grande quantité par tout habitant de Marseille dès que le patron a le dos tourné.
Selon les dernières statistiques, il s'écoule au total 3 200 000 litres de pastis par minute dans les Marseillais. D'ailleurs, il est courant d'entendre dans le milieu médical la phrase : « Monsieur, vous avez du sang dans l'alcool. ».
Depuis le grand tournant écologique du 21e, chaque Marseillais se fait un devoir de lutter pour la sauvegarde de la planète et contre le réchauffement climatique en mettant DEUX glaçons dans son pastis. Bel exemple de civisme qui pourrait être médité par d'autres, notamment ces c... de parisiens !
Football
Le football est l’activité préférée des Marseillais, outre l'inactivité et la consommation du plat liquide typique. Mais à Marseille, on s'intéresse très peu au football. Non, on préfère s'intéresser au fouteubolleu, voire même directement au ballon. D'ailleurs, un marseillais ne regarde aucun match de football. En revanche, il a l'habitude de regarder jouer au ballon. Pour cela, la ville dispose de la plus grande décharge à ciel ouverte d'Eurjninhbhn.
Au siècle dernier, et plus spécialement dans les années 1990, la ville de Marseille possédait avec l'Olympique (plus spécialement connu sous le vocable de l'Ohaime), la meilleure équipe du monde selon les autochtones. Malheureusement, les complots incessants des ennemis de la cité marseillaise privèrent ses habitants à maintes reprises de la consécration à laquelle ils pouvaient légitimement prétendre.
C'est ainsi que le 19 avril 1990, un joueur du Benfica Lisbonne, jouant avec trois bras, réussit à marquer un but de la main à quelques minutes du coup de sifflet final. "La main de Vata" est aujourd'hui aussi célèbre sur la Canebière que la "tête de Boli". Ils tentèrent par la suite de faire perdre l'OM en 1991 avec l'affaire des "spot du vélodrome" créant une panne de lumière au stade en demi-finale et séquestrant les joueurs du milan AC dans les vestiaires ! Heureusement de grands enquêteurs marseillais dirent que c'était pas la faute à Marseille et que donc c'était aux milanais d'être punis, fatche de con !
En mai 1993, les comploteurs, trop occupés à enfouir des liasses de billets dans les jardins des joueurs de l'équipe de Valenciennes, n'arrivèrent pas à temps à Munich où l'Ohaime jouait la finale de la coupe d'Europe le 26 mai 1993. Basile Boli plaça une tête célèbre permettant à l'Ohaime de remporter la première coupe d'Europe d'une équipe française. Ceci justifie que les marseillais soient dorénavant "à jamais les premiers", et pas seulement pour le gain d'une coupe d'Europe de football. Le club bénéficiant de la malchance de Reims, de Saint-Étienne ou encore de Bastia, qui avaient échoué en finale d'une coupe d'Europe, et des largesses de l'UEFA, conserva son titre malgré une fâcheuse tendance à acheter tout et tout le monde.
Cependant le complot international ne baissa pas les bras. Après avoir décapité la meilleure équipe de la planète à l'issue de procédures judiciaires multiples, le monde du football inventa "la double peine". En Mai 1999 voyant cette équipe se reconstruire ils anticipèrent sa possibilité de victoire en créant une bagarre en demi-finale à Bologne ! Ainsi quand l'OM arriva en finale contre une autre équipe italienne Marseille n'avait plus ses "grands" joueur car suspendu ! Puis le complot international dirigé majoritairement par l'Italie continua. C'est l'arbitre chauve M. Collina qui fut chargé de le diriger, le 19 mai 2004 au cours d'une autre finale de coupe d'Europe contre Valence : il suffit que le gardien marseillais frôle légèrement un attaquant adversaire pour qu'il soit exclu du terrain et qu'un "pénalty" sanctionne l'équipe marseillaise.
Donc en Bref, le complot a toujours eu des rapports italiens "Milan, San Siro, Milan, Bologne, Parme, Collina"... indice ?
Malgré ces mésaventures, les Marseillais s'obstinent à faire jouer leur Ohaime sur tous les terrains avec plus ou moins de bonheur, le complot international n'ayant pas baissé les bras.
Les marseillais peuvent également être fiers de leur série de 17 années sans titre (de 1993 à 2010 !). Prouesse magnifique, réalisée par très peu d'equipes professionnelles, surtout avec un des plus gros budgets de la Ligue 1 ! En effet, en France, il n'y a que le club lyonnais qui puisse rivaliser avec cet exploit : 28 ans sans titre entre 1973 et 2001, soit 28 ans de disette.
Note : Le supporter marseillais est anti-PSG, anti-Stéphanois, anti-Bordelais, anti-Valenciennois, anti-Milanais, etc. Il garde toutefois une tendresse particulière pour le club d'Endoume (qui joue avec les anciens maillots de l'OM).
oufffffffffffffffff c'est fini !!